Nouvelles données relatives à Kisqali® montrent une survie globale médiane de plus de cinq ans, soit la plus longue jamais enregistrée, dans le cancer du sein HR+/HER2- avancé
Plus de temps pour les personnes atteintes d’un cancer du sein avancé - Presentation résultats d'étude lors du congrès ESMO
- Les nouvelles données de l’étude MONALEESA-2 montrent que seul Kisqali est associé à un bénéfice statistiquement significatif en termes de survie globale (SG) avec un inhibiteur de l’aromatase chez les femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein HR+/HER2- avancé, en première ligne de traitement (1L)1.
- Kisqali plus letrozole a permis d’atteindre une survie globale médiane de plus de 5 ans (63,9 mois), soit un bénéfice en survie de plus de 12 mois, par rapport au placebo plus letrozole, chez les femmes ménopausées (HR = 0,76 ; p = 0,004)1.
- Kisqali est le seul inhibiteur de CDK4/6 ayant offert un bénéfice avéré en survie globale dans les trois études de phase III en association avec divers traitements hormonaux, indépendamment du statut ménopausique ou de la ligne de traitement1-3.
- Les résultats de survie globale mediane de l’étude MONALEESA-2 confortent Kisqali en tant qu’inhibiteur de CDK4/6 étayé par des preuves inégalées en matière de survie globale6.
Vilvorde, le 22 septembre 2021 — Malgré diverses avancées technologiques révolutionnaires, le cancer du sein continue de tuer plus de femmes en Europe que tout autre type de cancer.7 En Belgique, 46 femmes meurent du cancer du sein chaque semaine, la plupart d'entre elles à cause d'une maladie métastatique avancée.8,9 Aujourd'hui, 5 à 10 % des patientes sont diagnostiquées à un stade avancé. Même parmi celles qui sont diagnostiquées à un stade précoce, environ 30 % développeront une maladie avancée9. Il existe un besoin urgent d’un traitement dont il est prouvé qu’il allonge la durée de vie tout en préservant la qualité de vie. Lors du congrès 2021 de la European Society for Medical Oncology (ESMO), Novartis a présenté les résultats de l'analyse finale de la survie globale (SG) de l'étude de phase III MONALEESA-2, qui mettent en évidence une amélioration statistiquement significative et cliniquement pertinente de la survie (médiane 63,9 vs 51,4 mois ; HR = 0,76 ; IC à 95 % : 0,63-0,93 ; p = 0,004)1. L’étude a évalué Kisqali® (ribociclib) en association avec le letrozole, contre placebo plus letrozole, chez des femmes ménopausées atteintes d’un cancer du sein avancé ou métastatique positif aux récepteurs hormonaux et négatif au récepteur 2 du facteur de croissance épidermique humain (HR+/HER2-). Ces patientes n’avaient pas reçu de traitement systémique préalable pour la maladie avancée.
BE2109202175
De plus amples informations dans le communiqué en anglais:
Press Release Kisqali MONALEESA-2 OS data presented at ESMO
PDF 108 KB
Kisqali Notice (EN)
PDF 256 KB
À propos de Novartis dans le cancer du sein avancé
Novartis s’attaque au cancer du sein avec une science de pointe, une collaboration et une passion pour la transformation des soins aux patients. Nous avons adopté une approche audacieuse dans nos recherches en incluant des populations de patients souvent négligées dans les essais cliniques, en cernant de nouvelles voies ou mutations pouvant jouer un rôle dans l’évolution de la maladie et en élaborant des traitements qui non seulement maintiennent, mais améliorent également la qualité de vie des patients. Notre priorité depuis les 30 dernières années, et encore aujourd’hui, est de fournir des traitements qui améliorent et prolongent la vie des patientes atteintes d’un cancer du sein avancé.
Gina Volkaert